PORTE OUVERTE SUR LES DIMENSIONS DE L'UNIVERS

- Editions Transtar -


Depuis toujours, l'homme croit détenir la vérité sur son identité et sur la place qu'il occupe dans l'univers. Il y a quelques centaines d'années, il se situait au centre de l'univers sur une Terre plate, et toute idée contraire eût été jugée scandaleuse. Si la science d'aujourd'hui n'a plus rien de commun avec celle du Moyen Âge, notre naïveté est pourtant encore évidente : l'homme se croit seul dans un univers réduit à quatre dimensions, chacune limitée en taille dans une réalité qui se restreint elle-même à ce qui est humainement observable. Cet ouvrage nous invite à une réflexion autant scientifique que philosophique et ésotérique sur les notions de dimensions de l'univers. L'auteur, Nicolas Paulin, diplômé en physique et en informatique, nous fait pénétrer de façon amusante et fascinante dans les divers continuums de l'espace et du temps, et au cœur de certains mystères de l'univers. Une étude intéressante est consacrée à la relativité d'Einstein ; elle se poursuit par un voyage dans les mondes de l'énergie et de la matière, nous faisant dépasser les limitations de la pensée rationnelle. Le style est clair, les perspectives sont plutôt rassurantes... Chacun peut embarquer sans crainte : les conditions semblent favorables pour un basculement contrôlé dans la quatrième dimension.

Format : 140 x 208 - 190 pages
Public : malgré quelques aspects scientifiques, cet ouvrage est accessible à tous car il est très facile à comprendre.

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Résumé du livre :

Une dimension est une direction suivant laquelle un déplacement est théoriquement possible. On parle bien souvent des trois dimensions de l'espace, parfois de celle du temps, mais en théorie tout est envisageable, même une promenade à travers des mondes imaginaires conduite par notre simple humeur.
Il est vrai que nos sens physiques nous imposent une perception tridimensionnelle de l'espace, mais vu le pôle insignifiant que nous tenons dans ce gigantesque univers, il serait extrêmement prétentieux de tourner bêtement en dérision ce qui nous échappe. Sans adhérer systématiquement à toutes les suggestions originales, il serait peut-être sage de faire preuve de modestie et de prudence vis-à-vis de ce qui nous dépasse. Telle est en tout cas la philosophie de l'étude qui va suivre.

L'ESPACE

Des univers dépourvus de notions de largeur ou d'épaisseur seraient par définition "immatériels", donc non repérables physiquement : un fil infiniment fin pour un monde unidimensionnel, une surface d'épaisseur nulle pour deux dimensions, voilà qui autoriserait une parfaite coexistence avec notre monde de matière vu l'aspect impalpable de ces hypothétiques univers. Ceci dit, si nous avions la possibilité d'établir une communication avec leurs occupants, nous ressentirions certainement un sentiment de supériorité. Songez seulement aux dérisoires degrés de liberté d'actions et de mouvements impartis à une perle sur un collier ou à une ombre sur une surface plane. Nous autres, du "haut" de notre espace tridimensionnel, serions vraisemblablement perçus comme de véritables divinités !
Mais examinons la constitution de notre espace. Une multitude de superamas de galaxies qui rassemblent chacune d'innombrables étoiles et planètes constituées de minuscules atomes abritant eux-mêmes des "quarks" encore plus petits... Dans l'infiniment grand ou l'infiniment petit, plus personne n'ose de nos jours rechercher une limite. N'en déplaise aux rationalistes, la science a définitivement renoncé à la notion de particule élémentaire indivisible, et malgré la naïve théorie du "big-bang" originel qui limiterait l'univers en taille et en temps, tout porte à penser que la structure classique "planète - satellites" se retrouve à toutes les échelles. De source sérieuse, les galaxies formeraient même une structure cellulaire semblable à celle d'un tissu végétal à très grande échelle...
Mais si l'espace n'était qu'une illusion collective ? Une étonnante découverte tend actuellement à prouver que, au-delà des apparences, d'autres réalités se moquent complètement de notre "prison" tridimensionnelle. En physique quantique, la loi de non-séparabilité stipule que pour un même groupe de particules, une même famille de cellules ou une même "espèce" d'individus, ce qui affecte l'un affecte forcément les autres, et ceci de manière instantanée, même si plusieurs milliers de kilomètres les séparent. Nous parlons bien de la notion de vitesse infinie, celle qui "retire" à l'espace toute sa raison d'être. Loin de se limiter à une théorie, cette loi a fait l'objet de nombreuses expérimentations, de l'interdépendance des "photons jumeaux" au phénomène d'apprentissage spontané chez certaines espèces animales, et même pour tout être vivant à l'acquisition de l'instinct approprié pendant son sommeil. En fait, si dans ces trames invisibles l'espace perd toute sa signification, c'est en revanche la "distance égrégorique" qui prend tout son sens. Chacun d'entre nous serait ainsi "relié" à un courant de pensées bien particulier. Alors à chacun sa "fréquence" et restons à l'écoute !

LE TEMPS

Si l'homme n'a jamais pu trouver de limite dans l'infiniment petit, il n'est pas plus avancé pour le découpage du temps. Ces deux dimensions sont d'ailleurs intimement liées au point que chaque entité perçoit et exploite l'espace-temps à son échelle : inutile de comparer le "rythme d'existence" d'une galaxie avec celui d'un être humain ou celui d'un atome. À petite taille, courte durée mais instants bien remplis !
Quant à la manifestation du temps, peut-on parler de "mémoire du passé" (gravure continuelle de l'espace dans le temps) ou au contraire d'une mutation perpétuelle de l'instant présent ? La théorie comme l'expérience semblent plutôt favoriser la première solution. Les physiciens évoquent des points de vue tout à fait hors du commun, comme celui de "l'espace-temps arborescent" (pour un événement donné, toutes les conséquences possibles donneraient naissance à une nouvelle branche d'univers en parallèle avec celle que nous croyons unique), l'idée de l'inexistence d'une situation tant qu'elle reste ignorée de tous (son état resterait abstrait jusqu'à ce qu'un capteur ou observateur vienne déclencher par ses interférences une réaction en chaîne conduisant à la concrétisation de l'ensemble), ou encore, plus communément, le concept des "spaghettis quadridimensionnels" (nous consommerions l'univers entier à chaque fraction de seconde, chaque instant concrétisant la poursuite de notre route à la tête d'interminables traînées de matière).
Les expériences pratiques quant à elles se limitent au vécu de chacun d'entre nous, mais des témoignages affluent du monde entier et convergent tous vers un principe commun : au seuil de la mort, on reverrait défiler toute notre vie devant nos yeux, jusqu'à certains détails encore ignorés. Ce genre de récit renforce donc l'idée de l'existence d'une certaine mémoire du temps.
Si nous nous tournons cette fois vers les spiritualistes, nous apprenons tout d'abord de source très sérieuse que jusqu'au VIe siècle, la Bible adhérait tout à fait à cette vision des choses, que l'Église pratiquait la nécromancie et qu'elle enseignait même les principes de la réincarnation. De nos jours, dans ce domaine, les chercheurs ou "explorateurs" les plus avancés vont jusqu'à évoquer la notion d'intemporel, impliquant la simultanéité de l'ensemble des incarnations de tout être. Mais parmi tous les sujets abordés chez les spiritualistes, celui des "trames énergétiques de l'univers" est sans doute le plus fabuleux. Pour "stocker" toutes les informations du passé à la plus petite pensée ou émotion près, il est clair que l'idée matérialiste des "spaghettis" ne suffit pas. D'une façon symbolique, certains initiés parlent des "annales akashiques", mais plus concrètement, nous parlerons d'une nouvelle dimension qui, au-delà de l'archivage chronologique et matériel des événements, entraînerait un classement systématique de chaque expérience vécue en fonction de la qualité des émotions procurées. L'ensemble formerait différents niveaux vibratoires appelés "trames énergétiques".

L'ESPACE-TEMPS

Einstein a fait progresser la science à grands pas au début du siècle en démontrant que l'espace et le temps étaient intimement liés. On lui doit la célèbre relation E = mc2 (équivalence entre énergie et masse) et la mise en équation de mystérieux phénomènes liés à la notion de vitesse (contraction des longueurs, augmentation de la masse et dilatation du temps). De ce dernier phénomène découlent d'impressionnantes déductions relatives au voyage dans le temps. En effet, se déplacer dans l'espace signifie aussi "ralentir son propre rythme d'écoulement du temps", ou "accélérer son voyage vers le futur". L'effet n'étant significatif qu'à très grande vitesse, les expérimentations pratiques furent particulièrement délicates à mettre en œuvre mais tout de même convaincantes : une horloge atomique qui retarde après un long voyage, une longévité décuplée chez une particule élémentaire voyageant à très grande vitesse... Cela laisse rêveur.
Mieux encore, si on passait outre toute notion de limite de vitesse, la théorie nous permettrait d'imaginer l'inconcevable : à la vitesse de la lumière, un voyageur aurait une masse infinie, et à la manière d'un gigantesque trou noir, il attirerait à lui l'univers entier tout en rejoignant instantanément son futur le plus lointain. Une infime accélération et c'est cette fois une infinie force de répulsion qui l'expulserait vers le passé... Mais n'allons pas trop loin : d'après Einstein, la vitesse de la lumière serait une limite matériellement infranchissable. Seulement, de nos jours, on commence à se rendre compte que ce mot "infranchissable" n'est pas à prendre au sens strict du terme. En effet, plus les techniques de détection se perfectionnent, plus notre domaine d'exploration s'éloigne de notre matière physique dense pour s'élever dans les étages invisibles de l'univers. Aujourd'hui, même si cela remet beaucoup de "vérités préétablies" en question, on peut affirmer sans l'ombre d'une hésitation que la vitesse de la lumière n'est pas une limite absolue car on connaît des particules beaucoup plus véloces.
Pour ne pas mettre en cause l'incomparable intuition d'Einstein, rien ne nous empêche de supposer que, suite à la tragique expérience de Philadelphia (un navire de guerre rendu invisible par une action sur le taux vibratoire de la matière) et pour éviter les abus, le savant ait eu la sagesse de limiter ses relations mathématiques aux quatre dimensions spatio-temporelles de notre matière physique, la lumière faisant office de frontière entre "physique" et "subtil". Ces relations semblent effectivement applicables dans notre univers de matière physique mais interdisent le franchissement du "cap de la lumière", et par là même la notion d'infini et l'accès à la dimension invisible de l'au-delà.

L'ÉNERGIE

La dimension "énergétique" permet à tout phénomène vibratoire d'exprimer un état d'être au milieu d'un environnement qui lui ressemble. À notre niveau, on parle de matière physique, mais de multiples indices incitent fortement à penser qu'il existe de nombreux autres "étages vibratoires" qui, bien que partageant le même espace-temps que nous, ne sont pourtant le siège d'aucune interférence directe avec notre univers matériel.
Lorsqu'on sait qu'un atome est aussi "vide" qu'une immense cuve ne contenant qu'un petit grain de sable, que l'intérieur de ce "grain de sable" est lui-même comparable à une nouvelle cuve contenant un autre grain de sable (les "quarks"), puis que des "préons" nous attendent à l'échelle suivante (et probablement ainsi de suite jusqu'à l'infini), on est en droit de se dire que finalement, la matière n'est pas plus concrète qu'une rumeur qui plane dans le ciel... La notion de "vide" étant inacceptable, les seules réalités concevables seraient en fait les innombrables phénomènes vibratoires et fourmillements énergétiques qui s'expriment dans l'invisible. Si on en croit les nombreuses études menées en ufologie (des formes lumineuses qui se matérialisent ou se subtilisent), les résultats obtenus en optique (des photographies révélant l'existence d'une forme lumineuse électromagnétique autour de notre corps physique), ou encore les millions de témoignages des personnes ayant vécu la fameuse "NDE" (expérience de sortie astrale hors du corps physique à l'approche de la mort)... il existerait une infinité d'autres univers solides et palpables à leur niveau, accessibles comme en changeant de fréquence sur un poste de radio. Les témoins nous expliquent que la véritable source de notre conscience est "invisible" et qu'elle intègre et exploite un corps physique dans l'unique but d'expérimenter une "descente" dans les plus profonds plans vibratoires de la dimension énergétique. Voilà qui pourrait donner un sens au principe de la réincarnation et qui laisserait supposer que l'on choisit ses parents, que notre apparence physique se modèle sur une "forme" d'état d'esprit déjà existante en soi (d'où peut-être la relative ressemblance parents - enfants), ou enfin que l'astrologie est mal comprise dans la mesure où l'on choisirait soi-même à la naissance, par attirance égrégorique, une configuration planétaire découlant de notre vécu antérieur.

SYNTHÈSE

Toutes ces bases de réflexion demanderont sans doute encore du temps avant d'être pleinement adoptées par la société. Si nous pouvions cesser de vouloir toujours tout dominer, limiter et prouver par "a + b", nous pourrions enfin passer de la logique limitée du "oui / non" à celle du "peut-être", summum de la réflexion humaine. Puisse l'homme arrêter de nier systématiquement l'existence de ce qu'il ne peut voir ou comprendre. N'oublions pas que l'évolution est une remise en question permanente.
Les plus "rêveurs" des chercheurs scientifiques évoquent l'existence de 11 dimensions (certains philosophes ou spiritualistes vont jusqu'à 12). Par leur ouverture d'esprit et leur humilité, ces précurseur nous laissent Dieu merci entrevoir une lueur d'espoir. Si un tel enchevêtrement de continuums venait un jour à se révéler officiellement, nous nous sentirions bien minuscules au milieu de notre petit parc tridimensionnel. Mais curieusement, au-delà de nos barrières de protection, le temps qui s'écoule malgré nous ressemble fort à une promenade accompagnée en territoire inconnu, comme si déjà nous faisions nos premiers pas dans cette fameuse quatrième dimension.


Sommaire du livre :

AVANT - PROPOS :
- Une évolution accélérée
- Vers une ouverture

TOUR D'HORIZON

CHAPITRE I : QU'EST-CE QU'UNE DIMENSION ?

1 - Définition
2 - L'apparence physique de la quatrième dimension
- Relief spatio-temporel
- Manifestation physique de la quatrième dimension

CHAPITRE II : LES TROIS DIMENSIONS DE L'ESPACE

1 - Qu'est-ce que l'espace ?
- Fiche technique
- Pour se situer dans l'espace
- Des comparaisons qui donnent le vertige
2 - La vie sur un monde à une seule dimension : "Filindienne"
3 - La vie sur un monde à deux dimensions : "Horizon"
4 - Quelles sont les limites de l'univers ?
- Des structures qui se ressemblent étrangement
- Une infinité de dimensions pour des univers cellulaires
5 - Un espace tridimensionnel imaginé par nos sens pour nos limitations matérielles
- Au-delà de notre perception limitée de l'univers
- Plantons le décor
- La loi de non-séparabilité : une dimension invisible au-delà de l'espace
6 - Un univers fabriqué à notre image

CHAPITRE III : LA DIMENSION DU TEMPS

1 - Qu'est-ce que le temps ?
- Fiche technique
- Pour se situer dans le temps
2 - Une illusion qui trompe nos sens : le temps de propagation des informations
- L'omniprésence du passé
- À chacun son rythme
3 - L'exploration du temps
- Retour vers le passé
- Quelques idées inspirées de la physique quantique
- L'existence du passé
- Le futur et l'idée de la réincarnation
- Une autre idée du temps : les trames énergétiques de l'univers
- Synthèse

CHAPITRE IV : LA RELATIVITÉ D'EINSTEIN : UNE LUMIÈRE SUR L'ESPACE-TEMPS

- Fiche technique

1 - Le rapport entre la masse et l'énergie : E = mc2
2 - L'augmentation de la masse par la vitesse
- La relation d'Einstein
- Limite de vitesse dépassée
3 - La contraction des longueurs par la vitesse
- La relation d'Einstein
4 - La dilatation du temps par la vitesse
- La relation d'Einstein
- Un voyage à très grande vitesse en direct depuis la Terre
5 - La vitesse de la lumière ne dépend pas du mouvement relatif de la source émettrice par rapport à l'observateur
- L'éther : un repère immobile ?
- Que verrait un observateur si une fusée passait devant lui à une vitesse superluminique ?
6 - Synthèse
- Notion d'infini, notion d'humilité
- Des formules volontairement limitées ?

CHAPITRE V : LA DIMENSION ÉNERGÉTIQUE OU LES DIFFÉRENTS NIVEAUX VIBRATOIRES DE LA MATIÈRE

1 - Qu'est-ce qu'un niveau vibratoire ?
- Changer de fréquence comme sur un poste de radio
- Fiche technique
- Quelques manifestations vibratoires bien connues
2 - Qu'est-ce que la matière physique ?
- Du vide fait de vide dans le vide
- Un fourmillement de vie
3 - D'autres formes de matière se révèlent
- Nos sens et leurs limites
- D'autres formes de vie dans l'invisible ?
- Ce que nous révèle l'observation des ovnis
- L'important, c'est l'invisible
4 - L'être humain
- L'aura et nos corps subtils
- Voyage dans la dimension énergétique
- Quelques avis sur les mécanismes de la réincarnation
5 - Synthèse et extrapolations
- L'attraction universelle dans la dimension énergétique : la loi de Newton généralisée
- Notre niveau énergétique sur l'échelle des températures

CONCLUSION

- Synthèse
- Des limitations pour le binaire, l'infini pour l'analogique
- Quelques notions d'humilité

CITATIONS

BIBLIOGRAPHIE



Format : 140 x 208 - 190 pages
Public : malgré quelques aspects scientifiques, cet ouvrage est accessible à tous car il est très facile à comprendre.

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